Management collaboratif : du pep’s dans l’entreprise

De grands rêves, de grandes idées, de grandes écoles (ou pas). Une fois le pied dans l’entreprise, c’est les étoiles dans les yeux et des idées plein la tête que tu abordes tes premiers jours de taf.

Et là, surpriiiise !!

Conformité. Obéissance. Soumission. Beurk. C’est comme si, d’un coup, le monde se divisait en deux catégories : ceux qui ont une expérience chargée, et ceux qui creusent.

Toi, tu creuses.

Chez Dentelia, on s’est dit que ce fonctionnement était dépassé. Alors, sans rien inventer, on a adopté les codes d’un management collaboratif. Le principe est simple. Chacun est libre de planter, arroser, faire pousser – et creuser, s’il le souhaite vraiment, mais seulement s’il l’estime nécessaire.

Personne n’obéit à personne et chacun est libre de proposer. La hiérarchie est au tapis et la créativité libérée.

 

La flexibilité avant tout

 

Aujourd’hui, tout évolue en permanence, tout le temps, partout. Et particulièrement dans le monde du commerce et de la prestation de services.

Un nouveau concept fait fureur ? En deux temps, trois mouvements, voilà qu’une multitude de concurrents cherche à son tour à s’emparer du marché. Chacun veut sa part du gâteau, sa parcelle de plomb pour la changer en or.

Quant aux consommateurs, ils en veulent toujours plus (on sait de quoi on parle, on en fait tous partie). Exigeant, impatient, intraitable, le consommateur d’aujourd’hui. Il aime l’instantané. Et la déferlante du commerce en ligne lui donne clairement raison : le monde entier s’offre à lui dans la seconde, il suffit de cliquer.

Pour faire face à tout ça, l’entreprise doit avoir les reins solides. Et en disant cela, on ne parle pas d’une trésorerie confortable, non. On parle de fle-xi-bi-li-té.

Alors adieu reportings incessants, cloisonnements clivants, contrôles castrateurs… Chez Dentelia, on déteste les règles qui alourdissent le quotidien et qui ralentissent l’activité sans vraiment la servir. On aime la transversalité, l’authenticité, la vitalité. La complémentarité entre les personnes, la confrontation de leurs points de vue, de leurs expertises, de leurs expériences, de leurs vécus, de leurs façons de penser.

On aime les échanges faciles et immédiats, sur le pouce si nécessaire, loin des brainstormings laborieux à échéances régulières.

C’est notre sens à nous de la performance. Et on sait qu’il est porteur, car encore une fois, on n’a rien inventé. Le management collaboratif a fait ses preuves bien avant nous.

 

Des idées qui fusent

 

La flexibilité, c’est savoir se réinventer chaque jour.

C’est donc avoir chaque jour une idée nouvelle et se donner les moyens de la réaliser. On aime les idées qui ont du sens, qui peuvent améliorer les savoir-faire. Les idées qui peuvent accroître la qualité de nos prestations. Les renouveler. Les moderniser.

Ces idées ne peuvent pas toutes émaner d’une seule et même personne ou d’un « en–haut » qui ne veut plus dire grand-chose. L’ « en-haut » d’avant, c’était le mec qui avait gravi les échelons à la force de l’âge et de l’expérience (ou des diplômes). La récompense pour avoir trop creusé (ou trop bûché). Ridé, éreinté, endigué dans son conformisme (ou la tête boutonneuse tout juste sortie des cahiers), il ne serait plus d’une grande utilité pour lancer seul, tous les jours, des idées créatives devenues vitales pour l’entreprise.

Dans le management collaboratif, tout le monde est sur un pied d’égalité. Alors inutile de calculer ses mots pour « monter », il n’y a plus d’échelle à grimper. Partage seulement ce qui te fait « kiffer » ; le projet qui te ferait bondir du lit, chaque matin avant même que le réveil ne sonne, trop impatient que tu serais d’aller le développer.

 

Discussion libre

 

Le management collaboratif, c’est permettre à chacun d’exprimer son idée. On en parle en équipe, réunie pour en discuter. On voit ensemble comment la développer au mieux, pour le bien du client ou de l’entreprise : c’est la co-créativité.

 

La discussion se fait cartes sur table, dans la confiance et dans la transparence. Exit, la rétention d’informations (on ne se souvient même plus de la stratégie qu’elle sert…).

 

Chacun repart ensuite avec la mission qui l’interpelle/le tente/le motive/le fait sautiller de joie tel un cabri (rayer la/les mention(s) inutile(s)). A toi de t’organiser à ta guise pour accomplir la tienne dans les délais fixés. On n’ira pas t’espionner, te chaperonner, te taper sur les doigts, ni compter les heures que tu passes sur l’ordinateur à reporter tes idées dans les cases bien tracées de ton tableau Excel.

 

Tu peux donc tout aussi bien mener tes réflexions sous ta douche, devant une série un peu mollassonne ou pendant ta visite à pépé.

L’essentiel est que les choses avancent.

 

 

 

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